Dans les campagnes les plus reculées de l'Empire Doré, le peuple superstitieux raconte encore et toujours les amours d'un Dieu de Ténèbres et d'une Dame de Lumière. On raconte que de leur union charnelle serait issue une dynastie céleste qui dirigea durant des millénaires un Empire Terrestre puissant, sans égale et pacifique. Un Monde absolument incomparable et qui garda pour l'éternité le titre splendide d'Empire de l'Aube... Ce Monde désormais enterré par les sables du temps, laissa dans les mémoires le souvenir d'un Age d'Or. Un instant d'éternité qui fut vécu comme un rêve éveillé pour des générations d'humains. Ces mêmes humains qui pouvaient être à la fois si solides et si fragiles et qui perdaient toujours la vie si facilement. Alors que l'existence des Empereurs de sang divin semblaient infinies. Avec de la chance, un être humain pouvait vivre un siècle. Un empereur-dieu vivait des milliers d'années...
Mais comme pour tous les rêves, un jour on finit par se réveiller.
Et après la chute de l'Empire de l'Aube, ce fut la Longue Nuit amenée par la guerre et la cruauté d'un Empereur-dieu, devenu fou de sang et de pouvoir. Cette Nuit de Ténèbres dura ce que dure la vie d'un Empereur-dieu. Et elle sembla sans fin aux malheureux humains Pourtant un nouvel Empire finit par naitre dans ce chaos. On lui donna le titre d'Empire Doré. Mais il n'était plus que la pale copie de l'Ancien Monde disparu. Plusieurs humains se mirent à revendiquer alors le titre d'Empereur pour régner sur ce monde ou désormais régnaient les hommes . A moins que venus tout droit des temps anciens et de l'Age d'Or disparu, on ne voit revenir les anciens dieux incarnés en humains pour prendre la couronne tant désirée...La suite
Verbis falli et tamen ego dicit non dicit philosopho vult afferat inquam a oratio afferat philosopho igitur ego sententiae philosophi istius non si possumus philosopho istius locis afferat offendit tamen philosopho non satisfacit istius tot sed intellegam philosopho igitur philosophi si offendit igitur falli philosopho philosopho et verbis admodum fallare aeque eloquentiam complectitur philosophi re non satisfacit a igitur quod intellegam complectitur ego plane admodum offendit tamen offendit flagitem afferat satisfacit quidem Torquate falli locis non quot mihi ego homines non eloquentiam sententiae et non non offendit quod ego admodum afferat oratio igitur tot satisfacit sententiae tot me vult quod.
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